Foire aux questions

Mieux connaitre l'EDC

L’ économie de Communion (ÉdeC) fondée par Chiara Lubich en mai 1991 à San Paolo, implique des entrepreneurs, des salariés, des dirigeants, des consommateurs, des citoyens, des étudiants, des agents économiques, qui tous s’engagent à divers niveaux à promouvoir une culture économique caractérisée par la communion, la gratuité et la réciprocité, proposant et vivant ainsi une alternative au style de vie dominant dans le système capitaliste.

Qu’est-ce que cela signifie pour un entrepreneur ?

L’ÉdeC n’est pas un projet d’intervention dans l’urgence, ni un système de levée de fonds. Elle vise le développement et la croissance de l’entreprise pour qu’elle puisse continuer à créer de la richesse, des biens et services et des emplois. Offrir un emploi, surtout dans les pays plus pauvres, est une autre forme d’aide au développement.

L’ÉdeC n’est donc en aucune manière en opposition avec l’entreprise (qu’il s’agisse d’une entreprise individuelle ou d’une société anonyme), mais elle lui rappelle sa vocation : créer du développement humain et du bien commun.

Transparence du don/partenariats

La mise en commun du profit, destiné ensuite aux buts de l’ÉdeC, est le signe distinctif de l’ÉdeC, la condition nécessaire (mais non suffisante) pour être un acteur du projet. La première idée force du projet fut la mise en commun des profits et leur répartition en trois parts : pour le développement de l’entreprise, pour la formation culturelle et pour l’aide aux pauvres.

Les entreprises qui adhèrent à l’ÉdeC attribuent une égale importance à ces trois parts et distribuent chaque année leurs profits selon ce critère. Depuis 2008 un « rapport ÉdeC » paraît chaque année, qui rend compte de la distribution des profits des entreprises.

Quel lien avec la place du pauvre ?

Le premier but de l’ÉdeC est la lutte contre la misère (que nous préférons ne pas appeler « pauvreté ») Comunione_utili_indigenti comme voie de construction d’un monde plus juste et fraternel. L’ÉdeC propose à qui se trouve en difficulté économique ou dans une quelconque forme d’indigence (du point de vue de la formation, du droit…) un type d’aide basé sur le principe de la subsidiarité et surtout de la réciprocité. A qui est « pauvre » on propose d’abord un rapport nouveau pour ensuite faire intervenir une aide matérielle. Le premier remède est le rapport lui-même.

L’ÉdeC ne se propose pas en effet d’être un projet d’assistanat mais un projet où c’est la communauté qui résout ses problèmes, « assistée » et aidée en cela par les profits des entreprises. Pour la définition et la mise au point de ces projets, l’ÉdeC collabore avec l’AMU, une ONG qui travaille depuis 20 ans dans le domaine du développement ou en France avec les Villages saint Joseph.

Les entreprises qui adhèrent à l’ÉdeC attribuent une égale importance à ces trois parts et distribuent chaque année leurs profits selon ce critère. Depuis 2008 un « rapport ÉdeC » paraît chaque année, qui rend compte de la distribution des profits des entreprises.

Développement à l'étranger (RDCongo)

Les entreprises Françaises qui ont aidé ces dernières années ont contribué à aider un projet de microcrédit en RDCongo, en lien avec l’AMU.

Comment rejoindre l’association ?

Pour rejoindre l’association, Aurore pour une économie de communion qui organise, diffuse ‘Economie de Communion en France, il vous suffit d’adhérer sur la lien prévu à cet effet ici. L’adhésion aide à organiser, communiquer, soutenir des projets pour que l’économie de communion puisse se développer.

  • Etablir/expliquer le lien avec les courants cousins (ici les EDC)
  • Se pencher plus sur la place du consommateur
  • Besoin d’infos pour l’engagement d’un retraité
  • Plus d’engagement des jeunes et des retraités
  • Lien concret avec les entreprises
  • Prix adhésion trop élevé
  • Transmission entreprise, fidéliser le repreneur